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 Sachnasax le Fàidh de Marbhnamar

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Sachnasax

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Sachnasax

Messages : 41
Date d'inscription : 14/03/2020

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Âge: Cinquantaine
Métier: Fàidh de Marbhnamar
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MessageSujet: Sachnasax le Fàidh de Marbhnamar    Sachnasax le Fàidh de Marbhnamar  I_icon_minitimeMer 25 Mar - 8:22



   


   
SACHNASAX

 









Prénom & Surnoms : Sachnasax

Onagraba, dans la vieil langue, signifie Sans-tombeau. Titre du Fàidh.
Le Maître des Osselets, titre du Fàidh.
Le Grand Sacrificateur, titre du Fàidh.
Sang-de-Sève, titre donné par les Sintuamas.
Celui-qui-hante-les-futaies, titre donné par les habitants de Télioprate et ses environs.
Le Dolmétique, titre pompeux attribué par les Ruviens éloignés.


Âge & Date de naissance : Née le 1er jour de Waldalatha,  cinquantaines d'années.
Sexe : Masculin
Faction : Peuple Barbare
Liens notables :

  • Les Sintuama.
  • Le Seanadh'Saonadh.
  • Quelques patriciens de Telioprate.

Fonction : Fàidh de Marbhnamar, Guide des Sintuama.

Personnage
POSSESSIONS :

«...De biens je n'ai rien, de rien je n'ai biens,  pourtant, plus riche que d'hommes je suis car mille et une fois bénis par les dieux me voici.
Mon alcôve de Tùr Arsadhi n'est point laide, murs rongés par le lichen et le lierres ne suinte qu'en gros temps et on y hume parfum exquis de caverie. Mes affligés du Synode eux, barbotent leurs croupions dans des chambrettes humides qui leurs fripes le joufflus.  J'aime pourtant croire, que tout m'appartient en ces lieux , absolument tout ! Car qui à par moi pourrait être aussi apte à posséder les biens accordés par les divinités ? Ne suis-je pas Celui-qui-sait ? Celui-qui-voit ? Celui-qui reçoit ?! Bien sûr que si ! Qui serait assez fou pour me disputer ce droit ?! Qu'ils viennent à moi et j'irais lire l'avenir dans les reflux suintant de ses entrailles. Pour sûr que mon schlassacrifice n'est point la plus beau mais son fil reste suffisamment acéré pour percer les chaires et faire couler le liquide au goût de fer.  Aussi, me voici l'unique et seul dépositaire des secrets de Cnoc'nam'mar, tout ses secrets. Et qui d'autres aujourd'hui pourrait encore connaître les boyaux laissé par le Vieux Peuple ? Qui ?! Ils sont nombreux à avoir essayé, nombreux à avoir crut pouvoir y arriver. Mais dit moi Martugir, pourquoi me poses tu toutes ses questions ? Je crois déceler en toi la curiosités de la pie et l'avidité du squirre. Non, ne hurle pas Martugir, il ne sert à rien de hurler, ne hurle point. Tu t'en vas rejoindre les dieu mon fils.»

Palabres oubliés à l'ombre d'un Chêne-Gris.


APPARENCE :

« Comme les dieux m'ont conçus fils. Il n'existe pas d'autre voix sur cette terre. Scrute ma face et dit moi quoi donc tu vois ? Non, ne répond pas si vite. Admire. Regarde comme je fus modelé dans la glaise du Perçerive. Observe ! Me voila parfait parmi les miens. A quoi sert ce rostre qui t'empaffe la face ? Le mien n'est point, c'est pour me laisser toute liberté d'humer les myriades de fragrance qui parcourt les sous-bois. A quoi servent ces battants qui t'encombres les tempes ? Les miens ont disparus pour me faire ouïr toutes les subtilités d'un monde que point tu ne peux imaginer. Que fais tu donc de ces grossières lippes qui recouvrent tes dents ? Je n'en possède pas moi et pourtant je savoure chaque bouchée de chaire, chaque doucereux liquide qui ruisselle sur mon menton et s'égare dans ma barbe.  Pourquoi donc gâches tu ta vision en cherchant à l'occulter avec de lourds chalazion ? Mes mires ne se ferment jamais afin qu'en tout temps je puisse lorgner le monde qui m'entoure. Qu'à jamais je sois attentif aux messages que me portent les dieux. Que les mondes du visible et de l'invisible s'offres à moi. Voila. Comprends tu fils ? Fait fît de mon odeur, tu puirerais à l'identique si tu avais passé toute ton existence entre les murs froids d'une tour. Tu sentirais toi aussi les effluves de la forêt, du bois et de l'argile si aucuns autres soins ne t'étais apporté. Crois moi. Je sais. Oui mon dos se courbe car j'atteint un âge que peu des nôtres espèrent et c'est un bien mince prix pour une éternité à servir les dieux. Oui mes encres de guèdes commencent à s’effacer, mais comment pourrait t'il en être autrement quand le cuir même qui les accueils se met à faner ? Mon corps retourna à l'humus et nourrira la forêt, mais mon âme elle, est éternel. Peux tu en dire autant fils ? »

Tête à tête entre sacrificateur et sacrifié.

PERSONNALITE :

« Songe-creux ? Certains disent t'ils cela fils ? Vraiment ? Tu devras me susurrer leurs noms fils, car il me faudra échanger paroles avec eux. Ils se trompent. J'ai vu. Tout vu. Les dieux m'ont choisis afin de partager leurs désirs, ma quête n'est que celle de la vérité, de la lumière lunaire qui tapisse les cimes et qui dévoile les ombres entre les troncs. Je ne vis que pour servir les dieux et préserver leur peuple. Notre peuple. Mon peuple. Vous tous ici, êtes mes enfants, car à travers ma voix, s'exprime la volontés des divins. Tel la sève, je suis éternel.
Cupide ? Qui donc peut t'il penser cela ? Ma fortune n'est faite que de broc. Mon savoir est ma véritable richesse et il est grand. Vaste. Aussi étendu que les racines qui s'étendent dans le monde du dessous.  Les prix élevés que je quémande à nos envahisseurs venus du Sud ne porte qu'un but, consolider nos survies. Marbhnamar n'est pas tendre avec ses enfants. Tu devrais le savoir. Ils se trompent.
Cruel ? Ah ! Qui donc ?! Qui donc peut il bien affabuler ainsi ? Il n'existe point de cruauté en ce monde, car il en est modelé, de la plus petite des brindilles à la plus haute des montagnes. Le sang ce doit de couler, il  va et et vient, nourrissant le sol et les êtres. Il est la sève sacrée venant de Walda, comment alors peuvent t'ils me penser brutal moi ? Moi qui ne suis que l’exécutant d'une volonté qui dépasse toutes les autres. Ils se trompent.
Crois moi fils, un esprit faible n'aurait point survécut aux terribles épreuves que m'ont réservés les secrets des Fàidh. Il existe en ce monde des abominations à la peau plus lisse qu'aucuns ruviens. . Je ne suis point un esprit faible, ma vision s'en va plus loin qu'aucuns œils ne peut voir et j'ai vu ton destin fils. Il ne sera point plus brillant dans l'après que dans l'avant. »

Murmure aux esgourdes d'un mort.


HISTOIRE

«...Sang et sève, sève et sang, quand vint les nuits de Waldalatha, alors débuta mon existence. Pourtant, ainsi que tu me vois, ainsi que tu me sens, ainsi que tu me perds et me soit, je ne suis qu'écorce de chaire, simple enveloppe de bois. A l'intérieur de mes entrailles, dans les sombres recoins de mes boyaux, s'agitent une âme plus vieille que le monde, plus puissante que la course du temps et le cycle des saisons. Ceux qui me mirent au monde furent mes parents, de leurs noms je ne dirais rien car ils ne sont que les matrices de mes formes, rien de frustre et plustre de rien. De plus, cela serait nier que point je ne les connais.
Alors que s'élevait le barnum cinglant des festins sanglant dans les halls de bois de Mharbnamar, ; alors que l'humus rejetait les esprits et les corps des trop morts et de ceux ne l'étant pas encore assez ;  alors que le Dieu-Forêt lui même débutait sa divine cavalcade entre les troncs et les futaies, on vient me prendre me prendre nouveau née dans la huttes qui me vit respirer et il me choisit.
Le Fàidh nomma le Fàidh.
Comme il en toujours fut.
Comme il en toujours sut.
J'en avais oublié le souvenir, mais ils furent nombreux dans l'autre monde à m'en faire le récit, ainsi puis je te le conter aujourd'hui , comme on me le conta à moi même maintes fois afin que jamais omission ne me frappe. Voila une des lourdes tâches qui m'incombe, celle du souvenir de toutes les vies qui furent et qui seront. Croit moi, ce fardeau n'est point celui des hommes...

...La folle sarabande qui me conduit à mon destin était mené par celui que je fus et celui qui me fit, par le ni premier ni dernier, première partie de mon âme et mémoire de mon avenir.
Son nom était Garasalax.
Dans les premiers jours de mon existence, il eut vocation de père à mes yeux, crois le tu ? Cet être à l'aspect difforme qui de faciès  n'avait  qu'une bouche et un nez et qui pourtant, possédait la capacité à percer les mondes mieux que le plus éclairer des voyants. Menant d'une main de fer à l'os rêche le Seanadh'Saonadh, il était un dieu parmi les difformes, un héros parmi les imparfaits, un maître parmi les laids. Il m'alloua une nourrice portant le nom de Mère-des-Rats et me laissa à ses bras expert dans un des boyaux de Tùr Arsadhi. Ce fût la sans douter, les plus doux moments de mes primes état, celle que la postérité nous font regretté, celle dans laquelle il m'arrive de retourner me blottir pour simple goinfrerie. Pour sûr que pareil tu ferais, si seulement la sensation tu connaîtrais. Goutter le lait à même la mamelle. Choisir celle qui se voulait la plus suave, la plus riche, la moins kysté, la moins encrassé. Et les dieux seuls savent que Mère-des-Rats en possédaient.
Mais le temps de l'ignorance devait prendre fin et on me tira des tétons nourrissier pour qu'enfin ne débute le chemin menant à la croisée des voiles. L'enseignement du Fàidh débuta sans que je le choisisses,  on me plongea dans un chaudron de substance qui fit basculer mes maigres certitudes du monde que je connaissais...

...Je ne puis tout t'expliquer sais tu ? Car seul le Fàidh doit savoir enseigner au Fàidh. Connaitre ses savoirs serait t'initier à des connaissances bien trop grandes pour la faible âme qui s'agite en ton creuset. Mais sans trop t'en révéler, il m'est possible de t'en dresser certains efficaces portraits, alors tient toi prêt.
Tout débuta avec les abominateurs du Seanadh.
Je peux t'entretenir de  l'apprentissage des plantes des forêts, cela tu peux le savoir et le voir car du même monde nous venons. Accompagné de soudards aux bras volumineux et du Maître des Sous-Bois, je m'éloignais des années durant dans les futaies pour recevoir les empiriques préceptes et les connaissances parfaite des plantes qui nous entourent. J'appris leurs noms et leurs vraies noms, j'appris leurs utilisations et leurs non-utilisations, j'appris à les reconnaître et à les utiliser. Ce fut fastidieux et long, car ma cabesse de l'époque ne possédait par la largesse d'on elle se vaît maintenant.
Je peux t'entretenir de l'apprentissage de nos coutumes, cela tu peux le croire et le ressentoir car dans le même monde nous évoluons. Sous la houlette du Maître des Feux, je dus par cœur et par esprit apprendre les diversités de notre univers. Il m'enseigna les mimiques et les piques, il m'enseigna les verves et les contes, il m'enseigna les mœurs et les rites du commun pour qu'a venir jamais je ne sois surpris. Ce fut amusant et intéressant, car j'appréciais savoirs les usages des nôtres.
Je peux t'entretenir de l'apprentissage des découpes, cela tu peux t'en douter et le redouter, car les mêmes plaies nous connaissons. Le Maître des Hachoirs fut un guide efficace et redouté, possédant un seul bras, il semblait en avoir trois. A son contact, j'appris à larder et dépecer les chaires. Ce savoir si sanglant soit t'il ne semblait ni sur ni savant et pourtant aussi sale et salace que savoir se pouvait, il me faisait saliver. Le goût ferreux du sang, la pestilence du suif frais, le contact doucereux de la peau écorché, tel était plaisirs des sens m'apportant moult bienfait...

...Je passais dans les mains de moult autres apôtres du Seanadh qui ne furent ni mauvais, ni bons, ils furent ceux qu'ils étaient censé être, des feu-follets sur la route me menant aux réels savoirs du Fàidh. Alors Garasalax me prit sous son aile rachitique et devint mon seul repaire dans les ténèbres de frondaisons. Un comble quand j'en viens à y penser, car il a l'origine même des sombres forces qui m’assaillirent en suite.
Il m'apprit les secrets du monde.
Il m'enseigna le savoirs des dieux.
Il me montra le chemin tracé par Walda.
Il m’éduqua aux puissances de la Sève.
Je pourrais te compter chaque heures passés sur les flancs de Cnoc'nam'Mar ou il me montra les signes laissaient par les dieux pour ceux sachant les percevoir. Je pourrais te décrire les souffrances innommables qui me frappèrent alors qu'il me forçait à ingurgiter les ichors permettant de m'éveiller à l'autre monde. Je pourrais te raconter les rituels qu'il me fit endurer en m'enterrant vivant dans des tombes d'humus ou je frôlais la mort et la folie. Je pourrais te conter les savoirs auguraux qu'il me transit sur la lecture du sang, des boyaux, de la chaire morte et vivante. Mais crois moi, tu ne serais prêt à y entendre les détails, ils te corrompraient jusqu’à tes racines les plus profondes. Moi, je supportais cette apprentissage car tel en était mon destin. Garalax fut un maître cruel. Plus vindicatif que tout ceux qu'il me fût donner de connaitre.
Je le haïssais autant que je l'aimais.
Il m'aimait autant qu'il me haïssait.
Jamais je ne le considérais comme un modèle, encore moins comme un père. Il était l'hideux être que les dieux m'ordonnaient de remplacer une fois son temps venu...

... « Quatre chênes aux troncs noueux, trois corneilles hurlantes dans les cieux, deux gorets reniflant aux larges yeux, un seul survivant parmi eux.» Ce fut ma première vision que je te confies ici, elle me vint d'une transe qui m'avait amener à parcours le monde par dessus la gangue, par dessus les cimes, par dessus la mer. A l'époque ou je la reçus, je ne la compris point, mais pourtant la considérait comme un cadeau. Le premier d'une longue série d'offrandes que me firent les dieux. J'avais atteint l'âge d'homme depuis des années et pourtant, je restais une véritable ombre parmi les Sintuama. J'étais le prochain et l'invisible, j'étais celui qu'on ne verrait qu'une fois à sa place, mais en attendant, j'errais tel un esprit dans Marbhnamar. Notre foyer, la fôret, n'avait plus aucuns secrets pour moi. J'en connaissais chaque recoins, chaque futaies, chaque clairières. Le Beagluba était un cordon de vie que je suivais en flânant lorsqu'il m'était possible de m'extirper des griffes du Fàidh. C'est au cours d'une matinée brumeuse, que pour la première fois, j'observais un étranger. Il était trapu et ses cheveux de jais frisaient comme un bosquet de ronces. Un Ruvien. Je ne savais d'eux que ce que la coutumes nous disaient. Je le suivais en furetant alors qu'il cherchait l'entrée du Slighe Liath, tel une fouine, j'épiais ses pas et pouvais ressentir la peur qui perlait sur son front. Il suait à grosses gouttes, ses pas étaient gauche et ils trébuchaient sur chaque racines dépassant du sol. Dans sa hâte, il ne n'avait point remarqué, je m'attardais un moment sur la pièce circulaire qui venait de tomber de sa besace. La ramassant, elle me subjugua un long moment, son éclat irrésistible se logeant dans mes iris. Ce moment devint une autre clés de mon avenir. Il me fit saisir l'avidité et ses nombreux pouvoir...

...Dans la clairière des Chênes-Gris plus aucuns bruits. Dans les branches s'ébattaient les croisements des messagers divins. Un couple de bête noir s'égara des sous-bois en fendant la clairière. Brisant le silence macabre s'étant tapis entre les troncs, mon coutelas s'extirpait de la jugulaire de Garalax tandis que sa vie s'écoulait en gros bouillon sur l'humus. Cela c'était déroulé comme dans un songe, les pièces d'une construction divine, plus vieil que l'âme qui m'habitait, était entrain de s'imbriquer.
Comment te l'expliquer ? Voila qui est difficile.
Le Fàidh méditait sur une ancienne pierre, ses genoux complètement arqués dans un angle improbable. Il semblait aussi serrein qu'il était possible de l'être pour un être aussi torturé. Son nez sans arrêt humait l'air aux rythmes réguliés de ses poumons flétris. Je l'avais observé un moment, me questionnant sur son âge. J'avais moi même déja entamé la pente descente de l'existence. Mes cheveux étaient gris teinté de blanc, ma barbe brouissailleuse, mais Garasalax lui, n'avait ni cheveux ni poil, à vrai dire, il semblait inchangé depuis toujours. C'est durant cette intense réfléxion, qu'un éclair lucide me frappa en pleine caboche. Dans le chant des corneilles, je distinguais un ordre divin. « Frappe, frappe, Praffe, Praffe. » clamaient les piaffeurs en chœur. Et c'est ce que je fis. Il m'entendit pas approcher. Il était devenu presque sourd avec les années, aussi devais je crier pour m'entretenir avec lui. Pourtant, quand ma lame lui arriva presque sous la gorge, il murmura à mon attention  : « Il était temps.»
Je me marquais alors le front du sang chaud qui s'écoulait de son corps.
Le Fàidh s'en était allé.
Le Fàidh était née.
A mon retour à Tùr Arsadhi, ils se prosternèrent tous...

...Les ans sont passés depuis. Il me reste fort à faire. Nous Sintuama ne partageons pas le temps de ceux vivant au delà des arbres. Mais je le ressens, nos forces s’amenuisent peu à peu. Notre sève se raréfie. Les tributs ruviens se font plus rare, mais les dieux m'affirment qu'il ne s'agit la que d'une passe. Une passe qu'il me faut affronter moi. Sachnasax.
Et toi ? Qui es tu ? De nom tu n'en as point encore. Nous avons le temps pour t'en trouver un. Sais tu la chance que tu as ? Sûrement pas. Mais cela viendra. Un jour toi aussi tu conteras tes mots à celui qui te précéderas. Mais pas encore fils. Pas encore. Aujourd'hui, je te laisse aux soins de la Mère-des-Rats...»

Jaserie avec la relève.


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MessageSujet: Re: Sachnasax le Fàidh de Marbhnamar    Sachnasax le Fàidh de Marbhnamar  I_icon_minitimeDim 5 Avr - 16:52

Fiche terminée o7
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MessageSujet: Re: Sachnasax le Fàidh de Marbhnamar    Sachnasax le Fàidh de Marbhnamar  I_icon_minitimeDim 5 Avr - 18:56

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Te voilà enfin validé par l’équipe administrative. Nous te souhaitons tous la bienvenue officielle parmi nous. Afin de te faciliter la tâche, voici quelques liens qui pourraient t’être utiles très prochainement :
Demande de RP : Si tu souhaites te lancer séance tenante il n’y a pas mieux. Les joueurs se fairont un plaisir de partager un bout d’aventure avec toi.
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Bon jeu !
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MessageSujet: Re: Sachnasax le Fàidh de Marbhnamar    Sachnasax le Fàidh de Marbhnamar  I_icon_minitime

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