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 Titus Sevinius Merula

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Titus Sevinius Merula

Citoyen

Titus Sevinius Merula

Messages : 79
Date d'inscription : 01/04/2020

Personnage
Âge: 25 ans
Métier: Patricien oisif
Statut: Citoyen


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MessageSujet: Titus Sevinius Merula   Titus Sevinius Merula I_icon_minitimeVen 24 Avr - 16:57



 


 
TITUS SEVINIUS MERULA










Nom/Prénom : Titus Sevinius Merula

Âge/ Date de naissance : 25 ans / né en l'an 374, le 3ème jour de Secunda Nix.
Sexe : Souvent
Faction : Oncmelia Minor
Liens notables :
- Lucius Sevinius Galba, son père, censeur d'Oncmélie et glorieuse boule de graisse,
- Aurelia, très jolie belle-maman,
- Claudia, sa mère, morte écrasée par un char à bœufs,
- Lucilius, son frère aîné qui est mort aussi mais pas en même temps,
- Sevinia, sa sœur, vivante parce qu'il en faut,
- Corona, son autre sœur, vivante aussi,
- Amulius, son plus jeune frère, pas mort non plus.

Fonction : patricien oisif.

Personnage

POSSESSIONS :

Fils de patricien demeurant sous l'autorité de son père, Titus Sevinius Merula ne possède en vérité que ce que son pater familias, l'enveloppé Lucius, veut bien le laisser toucher. Et il en a, des possessions, le vieux grassouillet ! Domaines agricoles en quantité, vignes, villas d'agrément ; l'or coule à flot entre les mains des Sevinii, arrose la terre et en irrigue les sous-sols, se condense et, à la faveur de la pluie, leur retombe dans les poches en plus grande quantité encore. Les Sevinii doivent leur fortune à leur gestion intelligente du patrimoine ; Merula, lui, se fait fort de le dilapider.

Puisqu'il serait bien fastidieux d'énumérer chacune des possessions familiales dont notre ami n'a pas la jouissance, intéressons-nous à quelques objets dont il ne se sépare jamais ou presque. Si Merula vous vante un jour la longueur et la finesse de son épée et la façon qu'elle a de se mouvoir avec grâce dans n'importe quel fourreau, sachez qu'il parle de sa spatha. Cette épée longue est agrémentée d'une large lame de bronze et d'une étroite poignée rehaussée de deux anneaux d'or, conférant ainsi à l'objet une apparence phallique assumée par son propriétaire, qui l'a affublée du surnom de Chaude-Pisse. Il est cependant peu probable que cette arme ait transpercé qui que ce soit à ce jour, quel que soit l'orifice.
D'autre part, Merula jouit - en tout bien tout honneur - d'un bel étalon puissant et docile, à la robe d'un blanc immaculé, baptisé Imperator Cauda.
Un autre animal moins reluisant accompagne notre héros dans ses pérégrinations : sa chienne Grimelda, une levrette à moitié cinglée. Perpétuellement en chaleur, la chienne passe son temps à se frotter contre tout ce qui bouge ; on raconte d'ailleurs que Merula l'a adoptée en la voyant se faire tringler par deux chiens dans la rue, et qu'il aurait applaudi la performance. Les médecins disent qu'elle a un grain et qu'il faudrait la tuer, mais le jeune patricien s'y est attaché.
Citons en dernier lieu, quoiqu'il ne soit pas le moindre, l'esclave personnel et confident de Merula, le brave Condylome, un petit homme chauve et rondouillard, au teint cireux et aux lèvres grasses. Parfaitement laid, deux fois plus âgé que son maître, Condylome n'en est pas moins son inséparable. Puisqu'il n'est jamais très loin lorsque Merula commet l'une de ses frasques, certains se demandent si Condylome n'aurait pas une mauvaise influence sur lui ; difficile toutefois de dire qui influence vraiment qui.

APPARENCE :

Quel bel homme, pensez-vous déjà avant même d'avoir attaqué la lecture de ces lignes, séduit que vous êtes par l'image que vous pouvez contempler à gauche de la page. Et vous avez raison. Titus Sevinius Merula est beau garçon, ce qui, disons-le, est un vrai miracle quand on voit la ganache de son père, le boudiné Lucius. Quelle grâce ! Quelle prestance ! Chaque matin, ses esclaves entretiennent ses cheveux d'un beau blond cuivré, coupés court selon la mode ruvienne ; ils y appliquent un cosmétique à base de semence de taureau, un animal dont la virilité n'est plus à démontrer, qui apporte à la chevelure de Merula brillance et maintien, ce qui lui permet d'arborer l'élégante coiffure qu'on lui connaît. Un fin duvet orne son menton et ses joues, et le reste de son visage est lisse ; tout juste remarque-t-on, sur le coin supérieur droit de ses lèvres, une cicatrice, souvenir d'une bagarre qu'il perdit contre l'une de ses sœurs.

Regardez, braves gens, regardez Merula déambuler dans les rues d'Edelmia, la tête haute, admirez cette assurance et cette classe ; sa démarche est aussi noble que ses manières, et on le remarque d'autant qu'il est grand et bien bâti, ce brave monsieur. Naturellement, en bon patricien, Merula prête le plus grand soin à la sélection de ses vêtements et parures, car l'apparence d'un homme n'est-elle pas le miroir de son moi intérieur (et extérieur aussi, du coup) ? A ce titre, Merula accomplit chaque jour l'exploit d'arborer des tenues extravagantes, qui surprennent non seulement le commun des mortels, mais aussi - et c'est là qu'il est fort - ceux qui évoluent dans le même cercle que lui. Ses coffres regorgent de toges et tuniques de tissu précieux, aux teintes criardes et bigarrées, agrémentées d'une grande variété de froufrous et autres franfreluches, si bien que certains ont commencé à troquer l'expression « faire le paon » contre celle, plus locale, de « faire le Merula ».

PERSONNALITE :

Né dans une maison fortunée, cadet de sa fratrie, Titus Sevinius Merula s'est vu offrir dès la naissance ce que la plupart des hommes consacrent toute une vie à obtenir : un toit, la sécurité, une existence à l'abri du besoin. N'ayant jamais eu à travailler pour gagner son pain, ne s'étant jamais intéressé à la politique, Merula découvrit très tôt ce à quoi il consacrerait son existence : la recherche perpétuelle d'un confort toujours plus grand et de nouvelles sources de plaisir. Sa vie serait vouée à la quête du bonheur à l'état pur, et il n'aurait de cesse d'en écarter les souffrances.

Certains jaloux prétendent que Merula est un paresseux, un bon à rien qui passe ses journées à glander ; les sots ! Merula est un hyperactif. Les hommes rythment leur vie au gré de leurs petites habitudes, de leur train-train quotidien ; ils font chaque jour le même travail, vont chaque soir dans la même taverne, et rentrent chez eux baiser leur femme. Merula est différent : sa recherche du divertissement l'entraîne chaque jour à côtoyer l'inconnu, à tenter de nouvelles expériences, à prendre des risques. Au vrai, son rythme de vie effréné l'a souvent mis en danger, et sans doute aura-t-il, plus tard, des répercussions sur sa santé, mais Merula n'en a cure ; il est encore trop jeune pour s'en inquiéter, et comme il le dit souvent, « les hommes raisonnables vivent au présent, on n'avance pas en regardant l'avenir, si ? »

On vous dira aussi que Merula est un idiot inculte ; là encore, nions farouchement ce constat, ou du moins nuançons-le, car Merula n'est ni dépourvu d'intelligence, ni d'éducation. Il sait lire et écrire, ce qui est déjà pas mal. Il aime à jouer les hommes publics, se parant des oripeaux du patricien cultivé. Amateur d'art et d'histoire, il n'est pas rare de le trouver en train de discourir dans les soirées mondaines, prenant un grand plaisir à s'écouter parler en compagnie d'hommes trop polis pour l'interrompre, n'hésitant pas à parsemer ses logorrhées de citations de grands personnages - bien souvent erronées d'ailleurs - et à donner son avis sur la dernière oeuvre d'un artiste à la mode, bien qu'il n'y comprenne rien. Merula parle beaucoup, c'est un fait ; trop, c'est une certitude. Son franc-parler et ses saillies verbales lui ont souvent joué des tours, et ses propos peuvent paraître décousus, ayant tendance à passer du coq à l'âne.

Outre ses excentricités, Merula se signale par de nombreuses incartades auprès de la gent féminine. Séducteur invétéré, il ne peut s'empêcher de déclamer de bons mots, de faire de l'esprit, son romantisme tranchant avec la réputation de débauché qui lui colle à la peau. Il affirme souvent aimer deux choses dans la vie, les femmes et l'amour. D'aucuns prétendent que l'affirmation n'est qu'à moitié vraie, puisqu'on ne lui connaît à ce jour aucune relation durable, et en concluent un peu hâtivement que Merula n'a jamais aimé quiconque ; comme ils se trompent ! Aux yeux de Merula, l'amour est comparable à une étoile filante : beau et lumineux, il ne dure que le temps d'être entraperçu, éclipsant brièvement les autres étoiles avant de s'éteindre.

HISTOIRE

« Je propose que nous mélangions nos poils », susurra Merula, tout sourire, les yeux fiévreux et le teint écarlate. « Si tu veux être la prédatrice, je serais la proie...
- C'est ça, une autre fois »
, répliqua la donzelle, s'écartant de lui alors qu'il essayait d'attraper sa main. « Tu as trop bu, Merula ; tu devrais rentrer chez toi. »

Le regard enfiévré par l'amour - et peut-être aussi, et surtout, par le vin - Merula sourit, révélant une dentition impeccable. Qu'elle était belle ! La façon dont elle pinçait les lèvres, feignant le dédain et l'agacement, la rendait si desirable. Et ce regard ! Il se noierait dans ses yeux bleus. En plus, il avait l'impression de pouvoir se regarder dedans.

« Et où est-ce, chez moi, Scribonia ? Je n'ai nul foyer, loin de tes bras !
- Arrête ton char, veux-tu ? Je dois rentrer.
- Ne pars pas, je t'en prie. Je t'aime !
- Tu n'aimes personne d'autre que toi-même, Merula. Et je te rappelle que je suis mariée.
- Depuis quand cela a-t-il de l'importance ? Je parie que ton mari n'honore jamais ta couche. Il a une tête à préférer les hommes.
- Je suis enceinte.
- Je soupçonne que tu mens.
- C'est la vérité.
- En ce cas, prouve-le, et laisse-moi goûter de ton lait. »


Une gifle plus tard, Merula se retrouvait seul. Affalé sur un coin de table dans un bouge mal fréquenté, alors que résonnait autour de lui la rumeur de la vie nocturne, le jeune patricien somnolait, bavant abondamment dans sa manche. Se tenant légèrement en retrait, Condylome, son esclave, veillait au grain ; son maître avait une fâcheuse tendance à s'attirer des ennuis, mais ce soir-là était plutôt calme.

Fraîchement admis à la Curie d'Edelmia, comme tous les patriciens de son âge - il avait récemment célébré ses vingt-cinq ans - Merula ne semblait pas décidé à grandir. A ceux qui lui reprochaient son immaturité, le patricien avait toujours une réponse toute prête : "seuls les mauvais fruits ont besoin de mûrir, et moi, je suis déjà agréable en bouche, elles le disent toutes." S'il n'était que son attrait pour les plaisirs de ce monde, chacun aurait pu s'en contenter ; las, Merula multipliait les frasques et les scandales. Il côtoyait des gens indignes de son rang, s'acoquinant avec des acteurs, des prostituées, des receleurs de bas-quartiers. Il s'attirait l'ire de patriciens jaloux dont il séduisait les jeunes épouses, inconscient du danger, car il y avait toujours quelqu'un pour le sortir de la panade.

Son père, le puissant Lucius Sevinius Galba, avait pensé le discipliner en l'envoyant faire ses classes au sein de la Légion. Merula, de son propre aveu, y passa d'horribles années. Encore aujourd'hui, il n'hésite pas à se poser en martyr : à l'en croire, il aurait risqué sa vie une bonne vingtaine de fois, sauvé la vie de nombreux camarades et même libéré une princesse des griffes d'un ours (nul n'a jamais su d'où sortait cette princesse et ce qu'elle était devenue). Il aime à clouer le bec de ses détracteurs en rappelant qu'il a versé son sang pour l'Empire... bien qu'en réalité, il ait à peine servi trois ans et n'ait jamais vu le moindre ennemi.

En effet, ses supérieurs avaient su juger ses qualités martiales. Ils l'affectaient le plus souvent aux corvées d'épluchage de légumes, tenant cet élément perturbateur loin des patrouilles frontalières. Et puis, à vingt ans, son père le rappela à Edelmia, et c'en fut fait de la Légion. Une décision soudaine, inattendue. Merula avait supplié son père dans de nombreux courriers, mais ce n'étaient pas ses suppliques qui l'avaient fait fléchir. Son frère aîné, Lucilius, était mort, et Merula était devenu, par la force des choses, le fils aîné et le nouvel héritier potentiel.

Les dieux avaient été si cruels avec cette famille ! Lucilius était la perfection incarnée ; tout ce que Merula n'était pas. Sans doute aurait-on dû voir le truc arriver ; c'était trop beau. Honnête, courageux, bonne gueule et beau parleur, Lucilius cochait toutes les cases. La surprise du destin avait été salée. Fauché, le Lucilius, fauché en pleine jeunesse alors même qu'il démarrait son premier mandat à la Questure. Meurtre ou suicide, on ne saurait probablement jamais. Ce qui était certain, c'est que le coup avait été rude pour son père. Et doublement rude, de devoir le remplacer par l'autre imbécile.

Pour Merula, une nouvelle vie commençait. Revenu à Edelmia, sorti de l'ombre de son défunt frère, il se trouva mis sur le devant de la scène, position d'aîné oblige. Mais loin de considérer ses responsabilités, Merula ne fit que jouir des avantages de sa nouvelle position. Il s'entoura d'une horde de faux amis qui gravitaient autour de lui en profitant de sa naïveté ; il récupéra pour son compte les gages de son regretté frère, donnant libre court à sa folie dépensière, obligeant son père à intervenir à de nombreuses reprises ; il exigea la chambre de Lucilius, parce qu'elle était plus grande et plus belle que la sienne.

Il séduit même l'amante de ce dernier, la belle Aurelia Pulcherrima, une jeune patricienne qu'il avait longuement convoitée du temps où tout le monde n'avait d'yeux que pour Lucilius - elle la première. Dans un premier temps, Aurelia ne repoussa pas ses avances. Elle portait le deuil de Lucilius, et son chagrin et sa détresse la rendaient vulnérable. Elle finit néanmoins par se lasser, à mesure qu'elle réalisait combien Merula était fat et futile. Alors elle prit ses distances, et Merula en ressentit plus de peine qu'il ne saurait se l'avouer.

Le destin devait pourtant les rapprocher de nouveau quelques années plus tard. La mère de Merula, la généreuse Claudia, venait de mourir dans un tragique accident de char à bœufs et, passé le temps du deuil, son père Lucius Sevinius Galba désira se remarier. Le vieux patricien, qui lui aussi aimait les belles choses, jeta son dévolu sur Aurelia. Savait-il qu'elle s'était acoquinée avec deux de ses fils ? La chose n'était pas impossible. Merula soupçonna une punition, une provocation, une vengeance mesquine de son paternel ; en devenant sa belle-mère, Aurelia devenait plus que jamais inaccessible, et en même temps, il ne désirait rien plus que ce qu'il ne pouvait obtenir. Blessé, jaloux, Merula accusa le coup. Il lui fallait apprendre à prendre son mal en patience. Il se réconforta en se disant qu'un jour, son heure viendrait. Un jour, son père quitterait lui aussi ce monde, et Merula prendrait tout ce qui était à lui, comme il avait prit la place de Lucilius.

Et nul ne pourrait plus rien lui refuser.

Hors Rôle-Play
Crédit avatar et signature : OathToOrder
Compte autorisé par : Primo Sicinius Scorpa, le plus gentil des admins.

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Dernière édition par Titus Sevinius Merula le Sam 23 Mai - 13:15, édité 8 fois
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Titus Sevinius Merula

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Titus Sevinius Merula

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MessageSujet: Re: Titus Sevinius Merula   Titus Sevinius Merula I_icon_minitimeSam 23 Mai - 12:20

Chers amis, ma fiche est terminée et disponible à la relecture/correction I love you
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Caïus Protero Feles

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Caïus Protero Feles

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MessageSujet: Re: Titus Sevinius Merula   Titus Sevinius Merula I_icon_minitimeMar 26 Mai - 15:28

Ave Titus

Je prends mes atours ruviens pour tamponner cette fiche. Un bien beau ruvien oisif qui fera la fierté de papa Galba What a Face



VALIDATION
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Te voilà enfin validé par l’équipe administrative. Nous te souhaitons tous la bienvenue officielle parmi nous. Afin de te faciliter la tâche, voici quelques liens qui pourraient t’être utiles très prochainement :
Demande de RP : Si tu souhaites te lancer séance tenante il n’y a pas mieux. Les joueurs se feront un plaisir de partager un bout d’aventure avec toi.
Journal de bord : Afin de garder une trace de tes différents rps, et aussi pour te permettre d’établir une timeline claire pour toi et tes partenaires, nous t’invitons vivement à créer ton journal de bord où tu pourras archiver tes pérégrinations.
Si jamais tu as encore des questions, n’hésite pas à contacter l’équipe administrative ou à poser tes questions dans le sous-forum adéquat.
Bon jeu !
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https://oncmeliaminor.forumotion.com/t23-caius-protero-feles-pro
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MessageSujet: Re: Titus Sevinius Merula   Titus Sevinius Merula I_icon_minitime

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