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 Armée ruvienne & cohors urbana

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Nuntius

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Nuntius

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MessageSujet: Armée ruvienne & cohors urbana   Armée ruvienne & cohors urbana I_icon_minitimeMer 8 Avr - 20:42

ARMÉE RUVIENNE
Legio VI Aquila & Cohors Urbana
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Sommaire:
  1. Présentation
  2. Armement
  3. Tactiques de combat
  4. Composition de la Legio VI Aquila
  5. Le Limes
  6. Les cohortes urbaines



PRESENTATION


Ruvia s'est faite par le glaive et dans le sang. Son Empire n'aurait probablement jamais été aussi vaste sans l'aide de ses dizaines de légions aux qualités exceptionnelles. Telles sont les principales raisons de sa réussite ; grâce à tous ces hommes rompus à l'art de la guerre et à une discipline de fer.  Elles constituèrent une force non négligeable lorsqu'il fallut tout d'abord lutter contre des voisins envahissants, puis étendre les frontières toujours plus loin. Ces légions surpassèrent de très loin et rapidement les diverses armées barbares au delà des terres connues. Face aux individualités et coups d'éclats héroïques de ces hordes disparates, Ruvia s'opposa à elles avec des armées autonomes et polyvalentes dont la cohésion et la discipline étaient les deux maîtres mots. Ces légions, aux rayons d'action importants grâce à leur organisation, choisissaient minutieusement les terrains sur lesquels s'établir pour une nuit ou une année. Partisane d'une approche de la guerre plus défensive, rendant ses intentions conquérantes presque paradoxales, les armées barbares échouèrent à les battre les unes après les autres.

Cette organisation pointilleuse qui fit sa force se retrouve par ailleurs dans sa composition puisque les légions sont des armées professionnelles dans lesquelles un citoyen ruvien peut –  en cas de basse naissance –  gravir les échelons afin de devenir un officier important. Une chose importante à spécifier, qui constitue également un atout, est la durée de son temps de service. S'il est possible d'être exempté du service au gré d'un réseau influent, d'obligations envers sa famille (seul homme héritier), ou de mauvaises conditions physiques déplorées lors du dilectus (conseil de révision ou seuls les meilleurs physiquement sont pris), le temps passé dans les légions s'étale de 17 à 42 ans. Il n'existe pas mille méthode pour en sortir avant les 25 années obligatoires ; la mort étant tout logiquement l'une des rares portes de sortie. La hiérarchie au sein même de la légion est importante puisque la carrière permet à la nouvelle recrue d'évoluer au fil du temps en  intégrant différents corps possédant des styles et compétences au combat propres à elles. En entrant, le jeune ruvien appartenant à la classe la moins aisées devient en premier lieu un vélites. Son armement est plus léger car il se doit d'être plus mobile afin de lancer leurs armes de jets (pilum) ou flèches envoyées par leur saggita. En grandissant, ce dernier devient un hastati. Les hastati forment le vivier fort de la légion. Plus expérimentés que les vélites, ils offrent à l'ennemi un véritable mur de bouclier impénétrable dont seules les pointes de leur pilum lourd sortent. En dernier, les hastati deviennent des triarii. Ils sont par conséquent les plus vieux et les plus expérimentés, et disposent également de moyens financiers plus importants pour payer un équipement plus lourd. On retrouve ces hommes dans la dernière rangée de soldats et ne sont utilisés qu'en ultime recours lorsque les vélites et hastatii ont tous deux échoués dans leurs rôles. Ceux-là n'ont alors plus d'autres choix que d'essayer de se réorganiser derrière eux afin de mener une contre-attaque. Suite à cette période et s'il est encore en vie, le vétéran triarii peut quitter la légion en étant récompensé d'un lopin de terre quelque part dans l'Empire. Telle est sa principale récompense pour avoir sut servir avec bravoure et ténacité durant tant d'années.

Maintenant que l'évolution du légionnaire n'a plus de secret pour vous, vous découvrirez ci-dessous les multiples autres spécificités de la légion dont figure la Legio VI Aquila, présente en Oncmelia Minor.


ARMEMENT


Nota bene : L'équipement du légionnaire varie selon les trois périodes de son engagement. Les armements et équipements présentés ci-dessous sont ceux principalement portés et utilisés par les hastatii et triarii. Celui des Velites étant plus léger.

-Casque : Les casques ont la particularité de posséder de grands couvre-nuques (là où arrive la majeure partie des coups) et des couvre-joues rehaussés sur l'arrière pour parer les coups visant la jugulaire. Les oreilles, la bouche et les yeux sont bien dégagés, le soldat peut boire et manger sans enlever le casque et dispose d'une bonne vision périphérique et entend bien les ordres. Enfin, ces casques ont en commun de disposer d'un renfort métallique au-dessus des yeux de 1 à 3 centimètres de métal plein permettant de protéger le visage d'un coup direct et de décupler la puissance d'un éventuel coup de tête.

-L'armure : L'armure la plus répandue est la cotte de maille, la lorica hamata, composée d'anneaux plats rivetés. On trouve aussi des lorica squamata, à écailles et segmentata, la cuirasse segmentée. Souvent une ceinture de force, appelée fascia ventralis, servait à maintenir les reins qui devaient supporter une lourde charge.

-Le bouclier : Le bouclier hémicylindrique (en forme de tuile), le scutum, est composé de trois épaisseurs de bois lamellé-collé, recouvert de lin collé à partir de colles animales (poisson ou bœuf), le tout cerclé de cuir cousu dans le lin et le bois. La poignée est au centre du bouclier et horizontale, protégée par un bombement métallique, l'umbo. Le scutum est avant d'être une pièce défensive un outil offensif. Il est utilisé pour frapper les adversaires, les tenir à distance et s'utilise avant même le glaive. À l’intérieur se trouve parfois le nom du légionnaire, les numéros de cohorte et de légion étaient indiqués. En ajoutant une housse de cuir au bouclier et des bretelles en laine passant dans la poignée et des trous dans la housse, le légionnaire peut porter son bouclier comme un sac à dos en faisant un nœud avec les sangles devant. Il peut alors porter ses bagages, ses sarcinæ sur une fourche en bois, la fourca qu'il pose sur le scutum.

-Armement offensif : Le javelot lourd (pilum) a parfois un poids en plomb pour donner plus de force à l'impact. L’armement offensif compte aussi un glaive (gladius) de 70 cm de long. La lame ne dépassait pas les 50 cm de long, elle était fine. Le légionnaire donne des coups d'estoc, pas de taille, il suffit de « piquer » l'adversaire et de faire rentrer une longueur de 4 doigts dans le corps ennemi pour provoquer des blessures mortelles. Enfin un poignard (pugio) qui est surtout une arme de parade et d'apparat. Le gladius et le pugio sont attachés sur un ceinturon, le cingulum auquel est suspendu des lanières de cuirs terminées par des pendants et protégé par des plaques métalliques, le but étant de faire un maximum de bruit pour impressionner l'ennemi. Le glaive est porté côté droit (pour éviter de perturber la ligne de bataille ou de blesser un coéquipier en dégainant) et le pugio côté gauche par les légionnaires, et inversement pour les officiers.

-Habits et chaussures : Tout légionnaire porte une tunique, la tunica, grand vêtement ample porté tout autour de la Méditerranée tant par les hommes que par les femmes et les enfants sous son armure. Il porte aussi un foulard pour se protéger du cisaillement lié à l'armure dans le cou. Sur les jambes, le soldat peut porter des bandes molletières, appelées fasciæ crurales pour se protéger de tout ce qui peut piquer — animal ou végétal — et peut rajouter des jambières, les ocreæ, sortes de cnémides protégeant le tibia qui n'est pas couvert par le bouclier. Les légionnaires marchent dans des chaussures de cuir ouvertes, les caligæ, ou fermées, les calcei. Elles ont en commun d'être cloutées pour assurer une excellente stabilité sur le sol en cas de choc avec l'ennemi. Les chaussettes en laine permettent quant à elles d'éviter les frottements.

Sources : Mon ami wiki


TACTIQUES DE COMBAT


Les triplex acies : formation tripartite

C'est la configuration la plus courante dans les combats. Elle tient son nom des trois principales lignes (acies) qui composent la formation jusqu’à la fin du IIe siècle : les hastati (jeunes soldats), les principes (troupes d’élite) et les triarii (les vétérans). Après la réforme d'Antonius, chacune des lignes se compose de trois ou quatre cohortes (de 600 hommes chacune), espacées par des intervalles égaux. Ainsi, elles peuvent effectuer un repli sans affecter l’ensemble. Derrière eux se trouve parfois une ligne d’archers. Disposées de cette manière, les légions pouvaient être entourées de troupes alliées, la cavalerie venant compléter la formation sur les ailes.



Le cuneus : formation en éperon

Le cuneus répartit les cohortes en un demi-cercle convexe avec, en son centre, une pointe triangulaire constituée d’un groupe d’élite. Ainsi, la légion concentre son effort sur un point précis, si possible au milieu de la ligne frontale ennemie. Une tactique qui permet souvent aux Ruviens de percer la ligne adverse et de pénétrer sa formation, ce qui s’avérait le plus souvent fatal si l’ennemi n’avait pas de réserve.





La forfex : formation en tenaille

Elle prend la forme inverse du cuneus. Une sorte de V, à ceci près que les extrémités se rapprochaient, rappelant l’aspect d’une tenaille. L’une des manœuvres pour parvenir à cette disposition est de faire avancer lentement sa ligne centrale pendant que les ailes d’infanterie légère se forment en colonnes et progressent plus vite, avant de se reformer en ligne jusqu’à encercler l’ennemi.




La testudo : formation en tortue

La testudo forme un ensemble rectangulaire impénétrable grâce à un «mur» et un «toit» de boucliers, à l’image d’une tortue qui se recroqueville dans sa carapace. Si cette formation peut être utilisée pour un siège, elle sert avant tout à se défendre contre les flèches ennemies et s’avère efficace pour battre en retraite.




Les combats - Infanterie

Après s'être positionnés comme décrit dans les formations ci-dessus, les premières lignes lançent leurs pila sur les soldats ennemis à une distance de 30 mètres. Bien qu'ils peuvent provoquer la mort ou des blessures, leur rôle était de se planter dans les boucliers pour les rendre inutilisables du fait de leur encombrement. Ils sont également conçus pour se plier et se casser et donc empêcher leur réutilisation par l'ennemi. Après avoir lancé leurs pila, les soldats dégainent leurs glaives et engagent le combat. L'accent est mis sur l'utilisation du bouclier pour offrir un maximum de protection tout en attaquant l'ennemi. Lors du combat, la discipline, l'équipement et l'entraînement offrent souvent un avantage décisif aux légionnaires. Une autre tactique usuelle est de provoquer l'adversaire en lançant de fausses charges et en soumettant l'ennemi à un tir de flèches provenant d'archers montés pour l'attirer dans une embuscade.

Les combats - Cavalerie

La cavalerie est composée de trois types de troupes. Les archers montés sont des unités destinées à harceler l'ennemi et à reconnaître le terrain. La cavalerie dite moyenne est formée des cavaliers polyvalents maniant à la fois la lance, l'épée ou l'arc. L'armée est composée de ces soldats qui permettent de remplir des missions de reconnaissance, de repousser la cavalerie légère ou même combattre à pier pour tenir le terrain. Enfin, il existe une cavalerie lourde, les clibannaires et les cataphractes. Les cavaliers et leurs chevaux sont bardés de fer, mailles, écailles ou lamelles qui les protègent très efficacement des tirs et des coups. Ce type de cavalerie est une véritable arme de rupture destinée à percer le dispositif ennemi. Ils ne sont qu'un petit nombre dans la Legio VI Aquila. La cavalerie est employée sur le champ de bataille par le Procurator pour trois types de situation, l'affrontement avec une autre unité de cavalerie, que l'on qualifie de duel de cavalerie, la charge de fantassins pour rompre la ligne adverse et la défense lorsque la cavalerie démonte et décide de tenir le terrain. Durant la bataille, alors que l'infanterie et la cavalerie légère sont engagées dans la phase de jet des projectiles, chaque ligne gardant ses distances, les unités de cavalerie lourde et moyenne, stationnées généralement sur les ailes devant la cavalerie ennemie, peuvent recevoir l'ordre d'engager le combat avec son homologue d'en face dans le but de la repousser du champ de bataille, ce qui exposerait alors tout un flanc de l'armée adverse.




COMPOSITION DE LA LEGION VI AQUILA



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L'Etat-Major est constitué de la manière suivante :

- Un Procurateur impérial, ou Procurator, nommé par l'empereur pour le représenter dans la province. Il commande la légion en veillant à la bonne marche des unités, en faisant respecter la discipline, pratiquer l’exercice, en assurant des pouvoirs financiers et judiciaires.

- Un tribun laticlave, reconnaissable à la large bande pourpre qui orne sa tunique. Ce deuxième personnage de la légion aide le légat dans ses fonctions judiciaires et dans la gestion de l’exercice.. Il peut aussi le remplacer.

- Un préfet de camp, souvent un ancien centurion primipile, troisième personnage de la légion par ordre d’importance. Il supervise l’entretien du rempart, surveille les bagages pendant la marche et commande l’artillerie.

- Cinq tribuns angusticlaves, ainsi nommés car leur tunique s’orne d’une bande pourpre étroite. Chacun mène au combat deux cohortes soit environ 1000 soldats et officiers. Ils participent aux réunions d’état- major, dirigent l’exercice sur le terrain, veillent à la sécurité des portes du camp, à un bon approvisionnement de la légion, au bon fonctionnement de l’hôpital et peuvent même rendre la justice.

La Légion est composée de la manière suivante :

La première cohorte (à gauche sur le panneau) compte seulement 5 centuries de 160 hommes soit plus de 800 légionnaires. Elle regroupe l’élite de la légion.1)

Les neuf cohortes suivantes, numérotées de II à X ( de gauche à droite sur le panneau), se divisent chacune en 6 centuries de 80 légionnaires.

Un centurion (CT), secondé par un optio (O) commande chaque centurie. Elle possède un tesserarius (T), un signifer (S) et un cornicem (C ).

Ces centurions sont les vrais responsables des troupes pendant la bataille et au camp. Fines lames, rompus à toutes les ficelles, les ruses du combat au corps à corps, pétris d’expérience, ils avancent toujours en première ligne, à la tête de leur centurie.

Le Primus pilus, centurion de la première centurie de la première cohorte (tout à gauche) est le plus élevé en grade et a le privilège de participer aux réunions d’état-major. Tout légionnaire, tout centurion rêve de devenir centurion primipile mais il faut beaucoup de forces physiques et morales, de compétences, de bravoure, plus un brin de chance… pour rester en vie assez longtemps.

Le Tesserarius détient le mot de passe. Le Signifer ( ou porte-enseigne) porte le signum (enseigne) de sa centurie. Il montre le chemin à suivre dans la marche comme au combat. Au camp, il surveille l’argent, déposé dans la chapelle aux enseignes, et le marché où les soldats s’approvisionnent.

Les sonneries du cornicem (sonneur de cornu) mobilisent les porteurs d’enseigne que les légionnaires suivent immédiatement, aussi bien dans les rassemblements, la marche ou les batailles.

Une très lourde responsabilité pèse sur l’Aquilifer : Ce gradé porte l’aigle , symbole sacré de la légion, objet d’un véritable culte. Chaque légion possède un aigle !

La cavalerie, avec ses 120 cavaliers, sert d’agent de liaison, d’escorte et d’éclaireur.



LE LIMES



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Castrum d'Aquila Negra

Le Limes n'est autre que la frontière de l'Empire Ruvien. Celle-ci peut être naturelle grâce aux divers reliefs présents dans les vastes contrées (montagnes, rivières, déserts), ou artificielle grâce à la présence de constructions humaines telles que le Castrum. Les Castra, au pluriel, sont présents partout ou les populations vivant au-delà des frontières « perméables » se font les plus menaçants. Les légions envoyées pour empêcher les invasions construisirent dès lors des réseaux de fortification pouvant palier leurs infériorité numériques en quelques occasions. L'Oncmelia Minor n'a pas fait exception et possède ainsi quatre de ces castrum dénommés Aquila Negra, Taciture, Corsilvam et Leo Blanco. De camps provisoires au tout début de la conquête, ceux-là sont devenus de véritables petites cités fortifiées uniquement composées de légionnaires et même de marchands et artisans en extérieur.

Ces camps présentent plusieurs avantages dont celui d'offrir une position défensive indiscutable grâce à ces nombreuses tourelles aujourd'hui en pierre et à ses chemins de ronde, facilitant les déplacements des hommes et la surveillance. Ces camps permettent également de servir de bases arrières pour toutes les expéditions et incursions au delà des frontières. Chacun dispose par ailleurs d'un rayon d'action dont la principale mission est de surveiller tous les points de passage régulièrement empruntés par des maraudeurs barbares. La répartition de la Legio VI Aquila est assez basique puisque chacun des 4 castrum possède deux cohortes (soit 1000 hommes dans chaque).  La première cohorte disposant de 800 hommes a établi ses quartiers à Telioprate avec une cohorte en repos. Ces cohortes en repos relèvent ensuite l'une des cohortes disposées dans un castrum, permettant ainsi à chacune d'entre elles de se reposer un mois dans l'année. La première cohorte, réputée pour être la plus expérimentée, peut avoir quelques centuries amenées à traverser les frontières dans le cadre de missions militaires. Les cavaliers sont disséminés dans les quatre camps, servant comme nous l'avons déjà vu d'agents de liaison, d'escorte armée ou d'éclaireurs.


LES COHORTES URBAINES



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Chacune des trois cités que compte l'Oncmelia Minor disposent d'une cohorte urbaine. Celles-ci sont calquées sur le légion ruvienne et ne possède que quelques différences dont figurent les prérogatives journalières et les méthodes de combat. Edelmia, la capitale de la province possède une cohors urbana de 501 hommes. Celles de Telioprate et de Valtaia sont de 301 hommes chacune. Ces cohortes sont dirigées par des Ediles, qui ont eux même sous leurs ordres de centurions commandant chacun 100 hommes. Il y a donc cinq centurions à Edelmia et trois à Valtaia et Telioprate. Contrairement aux hommes de la Legio VI Aquila, qui ont pour principal objectif de défendre le Limes et repousser les éventuelles invasions barbares, les vigiles des cohors urbana assurent la sécurité dans les cités et s'occupent de faire régner l'ordre et la loi. Ils possèdent le même armement que leurs comparses légionnaires mais n'ont aucunement les mêmes techniques de combat. Etant bien plus habitués à intervenir et déambuler dans des ruelles plus ou moins étroites, ils sont suffisamment expérimentés pour maintenir un soulèvement de la population ou intervenir silencieusement dans l'une des demeures habité par un homme recherché. Ils sont en revanche bien moins à l'aise en vaste plaine ou en forêt.

Sujet similaire : Castra Urbana d'Edelmia

Ecrit par Livia Acilia

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